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Dessins et plans | Photographie | Météorologie | Orages | Physique | Nuages | Cumulonimbus | Thermes romains | Français (langue) | Architecture romaine | Animaux sauvages | Hongkong (Chine) | Australie | Kangourou roux | Djarach (Jordanie) | Voûtes | Musées -- Signalisation | Thermodynamique | Sadi-Nicolas-Léonard Carnot (1796-1832) | Bougies | ...
Ascendance thermique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10e19-ascendance-thermique

Ascendance thermique

Schématisation du phénomène d'ascendance thermique : Le nuage (A) au-dessus du sol. Le soleil augmente la température du sol qui, à son tour, réchauffe l'air au-dessus (1). La bulle d'air chaud commence à s'élever (2) jusqu'à un certain point. La masse condense et redescend, à cause de sa température inférieure (3). Le vol thermique consiste à utiliser des courants d'air ascendants (appelés « thermiques », « ascendances », « pompes » ou « bulles ») pour monter. L'aérologie fait appel à quelques notions physiques : l'air chaud moins dense est plus léger que l'air froid ; si l'on considère la différence de température moyenne entre celle au niveau de la mer et celle au niveau de la tropopause, divisé par la hauteur, on obtient une diminution moyenne de la température de la masse d'air avec l'élévation de l'altitude de 0,65 °C tous les 100 m ; le soleil réchauffe de manière négligeable l'air directement mais le soleil réchauffe le sol de manière variable selon sa nature qui lui ensuite chauffe l'air au contact du sol par conduction ; lorsque qu'une masse d'air au contact du sol est suffisamment réchauffée, sa densité baisse, elle devient plus légère et s'élève si elle est entourée d'air plus froid ; cette « bulle » d'air s'élève aussi longtemps que l'air environnant est plus froid ; la « bulle » elle-même se refroidit non pas du fait du contact avec de l'air plus frais avec l'altitude mais du fait qu'avec l'altitude, la pression baisse, la bulle se dilate donc, la dilatation d'un gaz provoque son refroidissement à raison de 1 °C tous les 100 m de manière invariable.

Chien Groenlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5318bf05-chien-groenlandais

Chien Groenlandais

Lulo, un chien Groenlandais à Upernavik, au Groenland. Lulo est le seul chien groenlandais utilisé comme animal de compagnie à Upernavik. Il lui arrive de rentrer dans la maison pour un cours laps de temps. Après, il a trop chaud.

Circulation atmosphérique hivernale. Source : http://data.abuledu.org/URI/518bf96f-circulation-atmospherique-hivernale

Circulation atmosphérique hivernale

Anomalies typiques entre janvier et mars : effets d'El Niño et de La Niña sur la circulation atmosphérique hivernale dans le Pacifique et sur l'amérique du Nord. El Niño (littéralement « courant de l’Enfant », car il apparaît peu après Noël), désigne à l'origine un courant côtier saisonnier chaud au large du Pérou et de l'Équateur mettant fin à la saison de pêche.

Consommation mondiale de bitume. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc53e1-consommation-mondiale-de-bitume

Consommation mondiale de bitume

Distribution de la consommation de bitume à usage routier dans le monde en 2006 (d’après European Asphalt Pavement Association (EAPA)) en Mt. Amérique du Nord : 38, Europe : 19, Chine : 10, Japon : 5-6, Amérique du Sud : 5, Russie : 4, Inde : 3, Afrique : 2-3. Le bitume est une substance composée d'un mélange d'hydrocarbures, très visqueuse (voire solide) à la température ambiante et de couleur noire. Connu depuis la plus haute Antiquité sous forme naturelle, il provient, de nos jours, presque exclusivement de la distillation des pétroles bruts. Dans le langage courant, on le confond souvent avec le goudron d'origine houillère, ou avec l'asphalte dont il n'est qu'un composant. Plus généralement, le bitume désigne tout mélange d'hydrocarbures extraits du pétrole par fractionnement qui, sous forme pâteuse ou solide, est liquéfiable à chaud et adhère sur les supports sur lesquels on l'applique.

Cumulonimbus associé à un orage supercellulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/523407fb-cumulonimbus-associe-a-un-orage-supercellulaire

Cumulonimbus associé à un orage supercellulaire

Cumulonimbus associé à un orage supercellulaire, en fin d'après-midi le 3 Avril 2004. L’orage supercellulaire est un type particulier d'orage qui est associé avec des phénomènes violents comme les tornades et la grosse grêle. Il se caractérise par une énergie potentielle de convection disponible élevée (plus de 1 500 J/kg), par un courant ascendant permettant une très large extension verticale (jusqu'à plus de 15 km) et par un changement des vents avec l'altitude dont la direction tourne. Le tout amène un renforcement du mouvement vertical sous le courant ascendant et l'effet de la synchronisation entre le front de rafales descendantes et le courant ascendant est perceptible. Plus l'énergie potentielle de convection disponible sera importante, plus le sommet du nuage d'orage sera élevé et plus intenses seront les phénomènes. Des valeurs extrêmes d'énergie potentielle de convection disponible de 6 000 J/kg ont été mesurées lors des tornades de l'Oklahoma du 3 mai 1999 qui ravagèrent la banlieue sud d'Oklahoma City. En règle générale, les orages supercellulaires se trouvent dans le secteur chaud d'un système dépressionnaire et se déplacent généralement en direction du nord-est, avec le front froid associé à la perturbation.

Cumulonimbus supercellulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52340a0a-cumulonimbus-supercellulaire

Cumulonimbus supercellulaire

Vue conceptuelle d'un cumulonimbus supercellulaire légendée en français : 1) Une enclume à la tropopause — laquelle est une barrière au développement vertical du nuage. Elle s'étend loin de la cellule originale poussée par des vents horizontaux très forts. 2) Un sommet en dôme stratosphérique, dit sommet protubérant, qui dépasse l'enclume là où le courant ascendant se trouve et indique qu'il est assez fort pour vaincre l'inversion de température à la tropopause. 3) Des mammatus sous l'enclume, des protubérances nuageuses formées par l'air froid d'altitude descendant par poussée négative d'Archimède dans le nuage. Ils sont signe d'instabilité. 4) Dans le flanc arrière droit, derrière les précipitations, une tornade sous le nuage-mur (Wall-cloud). 5) Une ligne de flanc formée de petits cumulonimbus ou cumulus congestus engendrés par l'ascension de l'air chaud aspiré par l'ascendance principale. Des trombes terrestres le long du front de rafales peuvent se former. Elles sont dues à un phénomène de convergence.

Diagramme de Schaeffler pour la soudure. Source : http://data.abuledu.org/URI/5121327f-diagramme-de-schaeffler-pour-la-soudure

Diagramme de Schaeffler pour la soudure

Diagramme de Schaeffler pour la soudure des aciers inoxydables. A : austénite γ ; F : ferrite α ; M : martensite ; 5-80% : pourcentage en masse de la ferrite dans l'austénite ; zones de risques : bleu clair, fissuration à chaud ; violet, fissuration à froid ; rose, fragilisation par transformation α→σ ; gris, fragilisation par croissance des grains α ; blanc, zone idéale. L'acier inoxydable, couramment appelé acier inox ou inox, a un grand rôle dans d'innombrables domaines : vie quotidienne, industries mécaniques, agroalimentaires, chimiques, transports, médecine, chirurgie, etc. C'est une famille d'aciers, alliages de fer et de carbone, auxquels on ajoute essentiellement du chrome qui, au-delà de 10,5 % en solution (selon la teneur en carbone) dans la matrice, provoque la formation d'une couche protectrice d'oxyde de chrome qui confère à ces aciers leur inoxydabilité.

Ilot de chaleur urbain. Source : http://data.abuledu.org/URI/528fd696-ilot-de-chaleur-urbain

Ilot de chaleur urbain

Dans une cour ou un environnement fermé ou peu aéré, par temps chaud, les climatiseurs peuvent créer une bulle de chaleur auto-entretenue, contribuant au phénomène d'îlot de chaleur urbain : Hongkong.

Kangourou roux australien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e25cbc-kangourou-roux-australien

Kangourou roux australien

Le Kangourou roux (Macropus rufus) est le plus grand des kangourous. Animal emblématique de l'Australie, il apparaît sur les armoiries du pays. Il a deux bras antérieurs réduits avec de petites griffes et deux pattes arrière puissantes lui permettant des bonds de 12 m de long. La queue très puissante sert de balancier pour la course ou d'appui pour le repos. C'est un animal vivant en petits groupes dirigés par un vieux mâle, passant les heures chaudes de la journée à l'ombre à dormir, à se reposer, à essayer de se rafraîchir en haletant, transpirant, se léchant pour faire évaporer sa salive, s'aérant en agitant les bras. Il mène une vie active du coucher du soleil au lever du jour. Les kangourous se déplacent par petits bonds, à une vitesse de croisière d'environ 30 km/h, et peuvent alors parcourir de longues distances. En cas de danger, ils peuvent passer à la vitesse supérieure et courir en zigzags très rapides, jusqu'à 60 km/h en moyenne avec des pointes à 80 - 90 km/h sur de très courtes distances. Parfois, ils peuvent faire des sauts aériens, jusqu'à 3,50 mètres de haut et 13 mètres en longueur, grâce à leurs ressorts et leurs longues pattes fines. Avec leurs grande rapidité et leurs agilité à bondir, ils n'ont pas vraiment de prédateurs (hormis l'homme qui le chasse avec des armes à feu).

Panneau sur Les Thermes de l'Ouest à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b59626-panneau-sur-les-thermes-de-l-ouest-a-jerash

Panneau sur Les Thermes de l'Ouest à Jerash

Description en Français présente sur un panneau d'information : Les thermes de l'ouest à Jerash en Jordanie. II° siècle après J.C. - 749 après J.C. Les thermes dits de l'Ouest correspondent au plus ancien des sept établissements de bains publics actuellement connus sur le site. Ils n’ont pas été fouillés mais leur phase ancienne peut-être datée du tout début du II° siècle, voire même de la fin du Ier siècle. De plan typiquement romain, ils comprennent un bâtiment consacré aux bains construit au centre d'une cour entourée de portiques. Cette vaste cour, appelée palestre, permettait aux baigneurs de se détendre et/ou de pratiquer des exercices sportifs après et avant de rejoindre les salles froides, tièdes et chaudes du bâtiment thermal. Primitivement limité à trois grandes salles, le bâtiment thermal fut considérablement agrandi au IIIe siècle suivant un plan symétrique, dit "impérial". Les thermes romains sont bien connus pour leurs extraordinaires voûtes en maçonnerie. Le monument de Gerasa est particulièrement remarquable par les voûtes en pierre, beaucoup plus exceptionnelles et difficiles à construire, couvrant les différentes salles froides et chaudes du secteur thermal, en particulier les coupoles sur pendentifs. L'une d'elles a traversé les siècles et est parfaitement conservée. C'est la plus ancienne structure de ce type encore in situ connue au monde. Source : IFPO, tapuscrit Erics

Plan d'un phalanstère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5091865f-plan-d-un-phalanstere

Plan d'un phalanstère

Plan d'un phalanstère par Considérant, ou Palais habité par une Phalange industrielle. Légende : A, Grande place de parade au centre du Phalanstère ; B, Cour d'honneur ou jardin d'hiver, planté d'arbres verts, environné de serres chaudes... ; C et D : Cours intérieures de service, avec arbres, jets d'eau, bassins... ; E, Grande entrée, grand escalier, tour d'ordre... ; F : Église (de l'autre côté, en face, théâtre) ; G, H, I : Bâtiments ruraux, grosses industries... ; K : Rivière. La rue-galerie est figurée le long des faces intérieures du Phalanstère. La grande route passe entre le palais d'habitation et les bâtiments d'exploitation. Source : Victor Considerant, "Destinée sociale", t. I, Paris, 1837, p. 482.

Principe de thermodynamique de Carnot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd8b50-principe-de-thermodynamique-de-carnot

Principe de thermodynamique de Carnot

Principe de fonctionnement du "moteur thermique" de Carnot. Source chaude de température en rouge (TH), source froide en bleu (TC), Q est la quantité de chaleur fournie au système, W est le travail. Au cours du cycle, la source chaude à la température TH fournit la quantité de chaleur QH au système moteur. Celui-ci fournit un travail W et restitue une quantité de chaleur QC à la source froide de température TC.

Pyramide de Noël en Allemagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/549dfea7-pyramide-de-noel-en-allemagne

Pyramide de Noël en Allemagne

Grande pyramide illuminée sur un marché de Noël dans le Land de Bade-Wurtemberg : c'est une sorte de carrousel à un ou plusieurs niveaux utilisant un principe physique simple afin d'obtenir un mouvement ; la combustion de bougies génère un courant d'air chaud qui met en mouvement une hélice située au sommet d'un axe, lequel entraîne un ou des plateaux où sont fixées des figurines qui se mettent à tourner. Généralement construite en bois, la pyramide de Noël peut présenter des thèmes chrétiens (crèche, anges, rois mages...) ou profanes (Père Noël, bonhomme de neige, animaux de la forêt...). Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_de_No%C3%ABl